Après la 3ème, Julie s’oriente vers un lycée général, n’ayant pas d’idée précise du métier qu’elle souhaitait exercer. Finalement, elle se ré-oriente après la classe de Première car elle se rend compte qu’un métier manuel lui conviendrait davantage : « Je m’ennuyais en classe, je voulais que cela bouge ! ».
C’est par passion que Samuel Chikly choisit de se former à la coiffure. « Issu d’une famille d’artistes et d’intellectuels, j’étais un garçon rêveur, plein d’imagination qui aimait faire des choses de ses mains ». En effet, il a toujours eu la fibre artistique et il recherchait donc un métier créatif. Il passe donc son CAP au CFA d’Arnouville tout en étant apprenti dans un salon Dessange.
Jeune femme passionnée par la carrosserie, Amélie n’envisageait pourtant pas au départ de suivre cette voie. Après le brevet, elle prépare un diplôme de secrétariat mais cela ne lui convient pas. Elle arrête la formation en classe de 1ère et postule alors pour rentrer dans l’armée et dans la gendarmerie. Malheureusement, sa petite taille l’empêche d’être sélectionnée.
A 16 ans, Julie est une jeune fille dynamique qui fourmille de projet. Après le collège, elle s’oriente vers une seconde au lycée mais très vite, elle s’ennuie ! « J’avais besoin de concret, de mettre en pratique ce que j’apprenais ». Elle choisi alors de se former en apprentissage, dans la restauration, un secteur aux multiples débouchés.
Audrey Guignet est issu d’une famille de boulanger, pourtant, ce n’est pas vers ce secteur qu’elle se tourne au départ. « J’ai un parcours atypique car avant de me lancer dans la boulangerie, j’ai suivi un BTS en communication graphique. Mais j’avais du mal à rester assise toute la journée sur une chaise ».
A seulement 21 ans, Steven Tabart est déjà chef d'entreprise ! L'apprentissage a été pour lui un accélérateur. Suite à une réorientation, le jeune homme rentre directement en 2ème année de bac pro commerce à l'IMA d'Eaubonne.
C’est une jeune fille déterminée à l’avenir prometteur que nous rencontrons. Ancienne apprentie à l’IMA Villiers-le-Bel, Aysegul Yilmaz vient en effet d’ouvrir son propre salon de coiffure à seulement 20 ans ! Son parcours dans la coiffure commence il y a 5 ans lorsqu’elle démarre un pré-apprentissage à l’IMA. Elle n’aimait alors pas l’école et cherchait encore sa voie.
Yann Tarju est l’exemple parfait de la motivation et de l’évolution : il a d’abord commencé par faire un pré-apprentissage en DIMA automobile à l’IMA de Villiers-le-Bel (Dispositif d’initiation aux Métiers en Alternance qui permet de découvrir un métier tout en gardant son statut de collégien).
Laura Fézard et Patrice Caffaro ont tous les deux effectué leur formation à l’IMA de Villiers-le-Bel. Elle voulait au départ se diriger vers la chocolaterie mais est finalement restée en pâtisserie, tandis que lui s’est tourné vers la boulangerie par « un hasard qui au final m’a bien plu ».